tag:blogger.com,1999:blog-86622272779696279042024-03-12T20:31:01.568-07:00Faune/Flore à MadagascarMILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.comBlogger190125tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-9281588154250464482013-06-11T05:20:00.001-07:002013-06-11T05:20:35.983-07:00Le chant des baleines à bosse enregistré à Madagascar<a href="http://2.bp.blogspot.com/-wZt5IiTeSXk/UbcV3b1DMJI/AAAAAAAAG8w/Dg-IT1I4WDs/s1600/Baleine_a_bosse-1d3c7.jpg" imageanchor="1" ><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-wZt5IiTeSXk/UbcV3b1DMJI/AAAAAAAAG8w/Dg-IT1I4WDs/s320/Baleine_a_bosse-1d3c7.jpg" /></a>
Des hydrophones pour enregistrer le chant des baleines à bosse ont été installés dans les eaux malgaches de Sainte-Marie. Baptisé BaoBab, ce projet mobilise actuellement 9 appareils répartis dans 3 sites différents.
L’an passé, le projet BaoBab, une initiative de Cétamada, association pour la protection des mammifères marins, a débuté avec 3 hydrophones qui enregistraient des données 24h/24, lesquelles servent ensuite d’études pour comprendre la signification des sons émis par les baleines à Bosses suivant des classements spécifiques.
Cette année, l’association, avec ses partenaires, a investi dans 6 autres appareils. Au total donc, 9 hydrophones sont opérationnels dans les eaux de Sainte-Maire, dans l’est malgache. Des acousticiens de l’Université Paris Sud et d’autres scientifiques de renom ont épaulé le Cétamada dans la mise en place de ce nouveau dispositif, selon l’Agence Presse OI, précisant qu’il s’agit du premier réseau installé dans l’Océan Indien.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-12093248071224389272013-05-02T19:39:00.001-07:002013-05-02T19:39:54.739-07:00Le secret de l'hibernation du lémurien percéDes chercheurs qui se demandaient où donc pouvaient bien passer les lémuriens nains de Madagascar durant l'hiver ont eu la surprise de les découvrir roulés en boule dans un terrier, en train d'hiberner.
Les lémuriens nains (genre Cheirogaleus) de l'est de l'île seraient les seuls primates du monde hibernant sous terre, selon cette découverte publiée jeudi dans la revue britannique Nature Scientific Reports.
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-TA-FIG4S43Q/UYMjSED0dAI/AAAAAAAAG6E/-C15sLW7JwU/s1600/2774299_photo-1367514102981-1-0_650x300.jpg" imageanchor="1" ><img border="0" src="http://1.bp.blogspot.com/-TA-FIG4S43Q/UYMjSED0dAI/AAAAAAAAG6E/-C15sLW7JwU/s320/2774299_photo-1367514102981-1-0_650x300.jpg" /></a>
Certes, on avait déjà récemment découvert que le Chirogale moyen (Cheirogaleus medius), qui vit dans les forêts sèches de l'ouest de Madagascar, dormait lui aussi sept mois durant dans des arbres creux.
Et les scientifiques pensaient jusqu'à présent que leurs cousins orientaux faisaient de même, bien qu'ils n'aient jamais réussi à découvrir leur cachette dans les arbres.
"Vous ne les voyez pas, vous ne pouvez pas les piéger ou les trouver durant la saison sèche (l'hiver) lorsque vous arpentez la forêt", explique à l'AFP Marina Blanco, co-auteur de l'étude.
"Ils devaient pourtant bien aller quelque part...", ajoute la chercheuse de l'Université de Hambourg (Allemagne).
Marina Blanco et ses collègues ont donc profité de l'été pour équiper douze chirogales vivant dans la forêt de Tsinjoarivo de colliers-émetteurs.
Ils ont patiemment attendu que l'hiver vienne puis se sont lancés sur la piste des petits primates avec leurs détecteurs, s'attendant à les trouver dans les arbres, nichés dans des creux douillets.
"Nous pistions le signal des colliers en pointant l'antenne en l'air, en direction de la cime des arbres. Mais comme le signal provenait du sol, on a pensé que l'animal avait perdu son collier", raconte Marina Blanco.
"Nous avons regardé tout autour de nous sans rien voir, alors nous avons commencé à creuser. Et nous avons découvert une petite boule de poils: le lémurien nain était enroulé et froid au toucher, et il portait encore son collier", poursuit-elle.
Les petits primates, d'un poids moyen de 250 à 350 grammes selon l'espèce, ont hiberné pendant trois à six mois, enterrés sous 10 à 40 centimètres de terre et d'humus.
L'hibernation des primates est un phénomène connu uniquement chez les lémuriens de Madagascar. Il s'explique probablement par le fait que les forêts des hauts plateaux peuvent connaître d'importantes chutes de température l'hiver, entre 0°C et 5°C, alors que l'été la température moyenne est de l'ordre de 30°C.
La plupart des animaux connus pour hiberner (ours, hérissons, écureuils, etc.) vivent dans des milieux froids ou tempérés.
L'hibernation permet un ralentissement du métabolisme et un abaissement de la température du corps qui économise les réserves d'énergie.
Selon l'étude, un terrier isolerait tout simplement mieux du froid le lémurien qu'un creux dans les arbres, lui permettant de passer l'hiver plus confortablement.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-52447040938598511972013-04-21T00:05:00.000-07:002013-04-21T00:05:03.656-07:00Une espèce inconnue de dinosaure découverte à Madagascar : Le Dahalokely tokana vivait il y a 90 millions d'années et mesurait entre 2,75 mètres et 4,3 mètres.<a href="http://2.bp.blogspot.com/-1VShylmuh6I/UXOO24Y-LII/AAAAAAAAG4w/ya5swagQBOo/s1600/Dinosaure.jpg" imageanchor="1" ><img border="0" src="http://2.bp.blogspot.com/-1VShylmuh6I/UXOO24Y-LII/AAAAAAAAG4w/ya5swagQBOo/s320/Dinosaure.jpg" /></a>
Il s'apppelle le Dahalokely tokana. Une nouvelle espèce de dinosaure a été découverte à Madagascar, c'est ce qu'a annoncé le Musée de Paléonthologie de Claremont, en Californie, jeudi 18 avril 2013. Il s'agit la première découverte d'espèce depuis 10 ans.
Des restes fossiles de Dahalokely tokana ont été mis au jour en 2007 et en 2010 au nord de l'île de Madagascar. Le Dahalokely tokana (littéralement, "petit bandit solitaire", un nom d'inspiration malgache) mesurait entre 2,75 mètres et 4,3 mètres et vivait il y a 90 millions d'années, rapporte The Independent. Ce qui fait de lui un dinosaure de taille modeste comparé à ses congénères.
Le Dahalokely tokana serait un théropode, donc un dinosaure bipède, appartenant au groupe des abélisauridés, précise Futura sciences. Ce dinosaure était carnivore. Des chercheurs étudient les restes fossiles retrouvés (une cervicale, six dorsales et des morceaux de côtes) et espèrent pouvoir en retrouver d'autres pour reconstituer un squelette plus complet. Sa découverte laisse à penser qu'il a pu avoir des descendants après la séparation de Madagascar et l'Inde (qui ne formaient qu'un seul continent entre 100 millions d'années et 88 millions d'années avant notre ère). MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-13057095207642313672013-04-01T20:23:00.003-07:002013-04-01T20:23:46.566-07:00Noni (morinda citrifolia)<b>Le noni ou le morinda citrifolia est une petite plante originaire des Indes. Cette plante est cultivée dans les îles volcaniques de la Tahiti et dans les régions tropicales. </b>
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-UQWe7Y0fBwE/UVpOsLO100I/AAAAAAAAG2I/1Sxc-BixnFc/s1600/noni.jpg" imageanchor="1" ><img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-UQWe7Y0fBwE/UVpOsLO100I/AAAAAAAAG2I/1Sxc-BixnFc/s320/noni.jpg" /></a>
Le noni est utilisé comme une plante médicinale par les habitants de la Polynésie et du Hawaï. Le noni produit un fruit dont la pulpe sert à faire du jus de fruit. Ce jus est actuellement commercialisé sur le marché.
<b>Madagascar</b> : Le noni, une plante capteur de carbone
Les producteurs ruraux vont participer à la protection de l’environnement. La vulgarisation de certaines plantes comme le noni va y contribuer.
Noni. C’est le nom de la plante qui sera vulgarisée par le Programme de promotion de revenus ruraux (PPRR) auprès des producteurs ruraux. Ayant une bonne capacité d’absorption de carbone, la culture du noni permettra à ces derniers d’apporter plus de contribution dans la protection de l’environnement et participe davantage à la lutte contre le changement climatique.
L’existence de la plante permettra aussi d’améliorer les productions. La vulgarisation débutera au mois de février auprès des paysans producteurs de litchis, encadrés par la société Faly Export, dans les régions Analanjirofo et Atsinanana.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-59882603056545388332012-06-07T22:19:00.000-07:002012-06-07T22:19:51.447-07:00Vétiver<a href="http://1.bp.blogspot.com/-H0HkIc-BFaI/T9GK4Q1IkMI/AAAAAAAAEfU/vmL8KGL09Og/s1600/vetiver_202-d2dbe.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="300" width="300" src="http://1.bp.blogspot.com/-H0HkIc-BFaI/T9GK4Q1IkMI/AAAAAAAAEfU/vmL8KGL09Og/s400/vetiver_202-d2dbe.jpg" /></a>
Vétiver (également écrit autrefois vétyver) est un nom vernaculaire ambigu désignant en français des plantes de la famille des Poaceae (Graminées). Il s'agit de plusieurs espèces du genre Chrysopogon (et anciennement placées dans le genre Vetiveria). On en connaît une douzaine d'espèces poussant dans les zones tropicales. La plus connue est Chrysopogon zizanioides qui pousse surtout sur le sous-continent indien. Deux autres espèces sont fréquemment cultivées : Chrysopogon nigritanus (Afrique australe) et Chrysopogon nemoralis (Asie du Sud-Est).
La plante se présente sous forme de grandes touffes vertes, dont la racine, se développant verticalement, peut atteindre des profondeurs allant jusqu'à trois mètres. C'est surtout cette racine que les Européens connaissent.
Le mot vétiver, apparu dans la langue française au début du XIXe siècle, est emprunté au tamoul vettiveru, sans doute par l'intermédiaire de l'anglais. Il est appelé khus khus dans plusieurs régions de l'Inde et xieng geng sao en chinois.
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-JRv-7MsQ73M/T9GLT6xNNwI/AAAAAAAAEfg/Osov9Lr4few/s1600/vetiver-madagascar1.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="400" width="300" src="http://4.bp.blogspot.com/-JRv-7MsQ73M/T9GLT6xNNwI/AAAAAAAAEfg/Osov9Lr4few/s400/vetiver-madagascar1.jpg" /></a>
En 2010, Biolandes a obtenu une attestation de commerce équitable pour la production d’huile essentielle de vétiver malgache issue de l’agriculture biologique, selon le cahier des charges ESR d’Ecocert.
A Tsiroanomandidy, dans la région des hauts plateaux de Madagascar, Biolandes a conclu un contrat de production de racines de vétiver avec une association de producteurs, Manitra, selon les règles du commerce équitable. L’association Manitra, qui regroupe environ une trentaine de planteurs dans le Fokontany (village) de Marolaona, s’engage à fournir des racines sèches de vétiver certifiées Biologique et NOP pour la distillation. De son côté, Biolandes s’engage à acheter les racines produites selon une rémunération minimale garantie et verse 5% du montant total des achats au titre d’un fond social et de développement à l’association Manitra.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-28995811899032713802012-06-07T07:19:00.001-07:002012-06-07T07:19:45.631-07:00FlamboyantLe flamboyant - Delonix regia : un arbre à floraison rouge spectaculaire. Originaire de Madagascar, on le rencontre maintenant dans toute la zone intertropicale. <a href="http://1.bp.blogspot.com/-0ykhlFKc050/T9C4A82nHYI/AAAAAAAAEe4/wfuxiWgBQgI/s1600/800px-Flamboyant_BW_2.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="268" width="400" src="http://1.bp.blogspot.com/-0ykhlFKc050/T9C4A82nHYI/AAAAAAAAEe4/wfuxiWgBQgI/s400/800px-Flamboyant_BW_2.jpg" /></a>
Le flamboyant est un arbre de plus de 10 m de hauteur en forme de parasol. Il est tout à fait remarquable lorsque ses grosses fleurs rouges ou jaunes font leur apparition en été. Son feuillage disparait pendant la saison sèche pour réapparaître avec le retour de la saison des pluies.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-83683542355269741582012-05-31T07:11:00.001-07:002012-05-31T07:11:28.248-07:00Plantes urticantes<b>Irritantes mais à usage multiple </b>
La période hivernale est propice à la fructification des plantes urticantes.
Ces plantes occupent généralement les milieux secs. Une promenade dans les champs ou en forêt truffés de plantes urticantes peut provoquer des démangeaisons lorsqu’on s’y frotte par inadvertance. Etymologiquement, le mot « urticant », dérive du nom « ortie », une plante du genre Urtica, de la famille des Urticaceae. Cette famille regroupe 16 genres et 59 espèces dont plus de 70% sont endémiques de la Grande Ile selon la base des données du Missouri Botanical Garden (MBG), un organisme bien connu sur la recherche et la conservation des plantes. Obetia madagascariensis appelé Imiha, Mia, Miagna, Miana, Miha, ou encore Obétie de Madagascar fait partie de ces plantes qui ne se trouve nulle part ailleurs qu’à Madagascar. Elle est visible à l'Ouest et au Sud du pays. En fait, un contact avec les poils urticants de ces plantes provoque à la fois une intense démangeaison et une sensation de brûlure. Au nombre des composés isolés de ces poils, qui contribuent vraisemblablement à l’effet urticant, se trouvent l’histamine, la sérotonine et l’acétylcholine qui peuvent déterminer des dermites allergiques.
C’est exactement pour ces propriétés irritantes que des gens font pousser ces plantes autour de leur maison comme haie vive. En fait, ces plantes sont à usages multiples car certaines d’entre elles font partie des plantes médicinales les plus utiles et les plus efficaces. Leurs feuilles ont des propriétés toniques, dépuratives, diurétiques, et anti-inflammatoires et sont couramment utilisées pour éloigner les rats et les taupes. La grande ortie est également très utilisée à des fins alimentaires, industrielles et agricoles (en tant qu'engrais vert et insecticide). Les tiges d’Obetia madagascariensis et d’O. radula sont très appréciées car elles produisent des fibres de bonne qualité utilisées en vannerie et pour fabriquer des cordages et des textiles résistants. On peut en faire un papier de première qualité. Mais ils existent aussi des plantes urticantes appartenant à d’autres familles. C’est le cas du Stizolobium pruriens, connue sous différentes noms malgaches comme Taingolotra, Tankilotra, Tainkilotra, Tankifotsy, Tainkilobazaha.
Le Tainkilotra appartient à la famille des haricots ou légumineuses. C’est une plante dont les fruits à poils vésicants qui s’envolent dans l’air rendent le lieu où ils se trouvent inabordables. Les Malgaches arrivaient même à trouver un proverbe sur cette espèce urticante disant : « Tainkilobazaha vaky hono ka izay malailay miala », ce qui veut dire : un tainkilobazaha qui éclate, que celui qui a des démangeaisons s’en aille. (se dit d’une affaire dans laquelle ceux qui ne peuvent pas la supporter doivent s’en aller).MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-24653910199957794652012-05-18T08:42:00.000-07:002012-05-18T08:50:56.741-07:00Huppe fasciée<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-6ct14WDIIqI/T7Ztm4lkJuI/AAAAAAAAEbc/mTQ7I0rAEfw/s1600/upupa.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="242" width="400" src="http://4.bp.blogspot.com/-6ct14WDIIqI/T7Ztm4lkJuI/AAAAAAAAEbc/mTQ7I0rAEfw/s400/upupa.jpg" /></a></div>
La huppe fasciée est un oiseau de taille moyenne, au plumage orangé (femelle légèrement plus terne), barré de noir et blanc sur les ailes et la queue. Elle possède une huppe érectile, longue, orange, se finissant par du noir. Son bec est long, mince et recourbé. Ses ailes sont larges et arrondies, et ses pattes courtes mais puissantes.
C'est un oiseau peu farouche mais qui se tient à bonne distance de l'observateur humain donc difficile à prendre en photo.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-_F2bFH-nsMA/T7ZvdoE78CI/AAAAAAAAEbs/ud2pMvEBw1Q/s1600/upupa1.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="183" width="400" src="http://2.bp.blogspot.com/-_F2bFH-nsMA/T7ZvdoE78CI/AAAAAAAAEbs/ud2pMvEBw1Q/s400/upupa1.jpg" /></a></div>MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-17673607013590141522012-05-16T22:08:00.000-07:002012-05-16T22:08:27.853-07:00Pachypodium<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-YOJhnthLork/T7SHqWFspAI/AAAAAAAAEaY/TPBX-bhZojs/s1600/fleurs.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="300" width="400" src="http://4.bp.blogspot.com/-YOJhnthLork/T7SHqWFspAI/AAAAAAAAEaY/TPBX-bhZojs/s400/fleurs.jpg" /></a></div>
Le genre regroupe des plantes de la famille des Apocynacées. Signifiant pied épais le nom de genre se réfère aux tiges épaissies à la base de ces plantes. Comme toutes les Apocynacées les Pachypodium produisent un latex riche en alcaloïdes qui dans le cas de Pachypodium lealii est hautement vénéneux.
Les Pachypodium ont une tige épaisse souvent épineuse avec des feuilles caduques simples. Ils sont originaires de Madagascar et d'Afrique australe.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-12874266628141995192012-05-06T08:53:00.000-07:002012-05-06T08:53:51.906-07:00La fabuleuse odyssée des plantesCe livre est le récit de la constitution de l'herbier national du Jardin des Plantes, qui rassemble aujourd’hui plus de 9 millions d'échantillons botaniques récoltés aux quatre coins de la planète – c'est le plus grand et le plus riche herbier du monde. Des origines (les premiers herbiers rassemblés datent du XVIe siècle) au début du XIXe siècle, mais surtout centré sur l'explosion de la botanique scientifique au XVIIIe siècle, il nous livre le récit de la constitution de ces collections, le portrait des botanistes qui les rassemblèrent, leur histoire et celle des voyages qu'ils entreprirent.
Auteurs : Lucile Allorge
Editeur : Hachette Pluriel Reference<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-f_3wQl-e2Os/T6aeMmdG5lI/AAAAAAAAEYc/eMPRUbx71PQ/s1600/aaapl.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="400" width="250" src="http://1.bp.blogspot.com/-f_3wQl-e2Os/T6aeMmdG5lI/AAAAAAAAEYc/eMPRUbx71PQ/s400/aaapl.jpg" /></a></div>MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-1014738903176153762012-04-22T12:03:00.001-07:002012-04-22T12:03:31.278-07:00Rezimba<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-SiWmkVWBfb0/T5RVsqssVEI/AAAAAAAAEXE/PEhPorFtJ4o/s1600/resinba.jpg" imageanchor="1" style="clear:left; float:left;margin-right:1em; margin-bottom:1em"><img border="0" height="400" width="254" src="http://1.bp.blogspot.com/-SiWmkVWBfb0/T5RVsqssVEI/AAAAAAAAEXE/PEhPorFtJ4o/s400/resinba.jpg" /></a></div>
Assez sucré avec un petit gout de pomme.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-81974755172298074432012-04-09T07:55:00.002-07:002012-04-09T07:58:59.604-07:00Fuligules malgaches<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-BkhiwVvCm4E/T4L5Hao6gcI/AAAAAAAAETo/7m375sY3QKU/s1600/le-programme-de-conservation-des-fuligules-malgaches-a-ete-lance-en-2009-credit-photo-wwt_45906_w460.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 354px; height: 400px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-BkhiwVvCm4E/T4L5Hao6gcI/AAAAAAAAETo/7m375sY3QKU/s400/le-programme-de-conservation-des-fuligules-malgaches-a-ete-lance-en-2009-credit-photo-wwt_45906_w460.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5729415581774021058" /></a><br />Dix-huit petits fuligules malgaches, une des espèces de canard les plus menacées au monde, ont récemment éclos dans un centre de reproduction en captivité à Madagascar.<br /><br />Il reste encore un espoir pour les fuligules malgaches. Dix huit canetons appartenant à cette espèce au bord de l'extinction viennent de naitre dans un centre de reproduction en captivité spécialement construit à Antsohihy, Madagascar. La couvée représente un nouveau souffle pour la population mondiale des fuligules malgaches qui s'élève désormais à 60 spécimens.<br /><br />Le programme de sauvetage de ces oiseaux en danger critique a été lancé en 2009 par la Wildfowl and Wetlands Trust (WWT) et la Durrell Wildlife Conservation Trust, deux organisations maîtres en matière de conservation. Le principe de la mission est de récolter les oeufs de fuligules malgaches dans les nids bordant le lac Matsaborimena, dernière ère d'évolution de la population.<br /><br />Au total, 24 oeufs ont été recueillis et soigneusement couvés dans une salle de bain d'hôtel, le temps que le centre de reproduction en captivité soit opérationnel. Pour Glyn Young, biologiste à la Durrell Wildlife Conservation Trust, la naissance des dix-huit canetons s'est faite dans le plus grand émoi. Il confie à BBC nature : "les petits représentent un incroyable pas en avant dans la lutte pour sauver les fuligules malgaches".<br /><br />Etablir les conditions idéales pour les canetons<br /><br />L'espèce, considérée comme éteinte en 1990, a été redécouverte en 2006 lors d'une expédition aux abords du lac Matsaborimena. A cette époque, la population ne comptait que 22 spécimens. Aujourd'hui, malgré les efforts intenses pour maintenir les fuligules malgaches, ceux-ci restent extrêmement vulnérables et pourraient disparaître sous l'influence de la moindre cause, comme la pollution ou une épidémie.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-40871379096659378472012-04-02T08:21:00.003-07:002012-04-02T08:25:59.269-07:00Armoise annuelle<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://1.bp.blogspot.com/-0kGodvcDmxM/T3nE6Brl2EI/AAAAAAAAESg/-hA_dgjMUCs/s1600/Artemisia_annua_detail.jpeg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 300px;" src="http://1.bp.blogspot.com/-0kGodvcDmxM/T3nE6Brl2EI/AAAAAAAAESg/-hA_dgjMUCs/s400/Artemisia_annua_detail.jpeg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5726824902341023810" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-APAlD70G7AA/T3nEkuVMDJI/AAAAAAAAESU/l8GISleu7Cc/s1600/armoise.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 250px; height: 350px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-APAlD70G7AA/T3nEkuVMDJI/AAAAAAAAESU/l8GISleu7Cc/s400/armoise.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5726824536369532050" /></a><br />L'armoise annuelle (Artemisia annua - en chinois: qinghao (青蒿)) est une plante annuelle glabre originaire de Chine naturalisée en Europe. L'une des substances actives extraite de ses feuilles (l'artémisinine) combat efficacement le paludisme.<br />Les tiges très ramifiées ont une longueur comprise entre 30 cm et 100 cm (pouvant atteindre plus de 3 m en culture), les feuilles sont très divisées et les capitules ont une longueur de 1 mm à 1,5 mm se positionnant en grappes lâches et terminant les branches. La floraison est estivale. On la trouve dans tous les terrains vagues (y compris au milieu des habitations) des zones tempérées chaudes.<br />L'armoise annuelle est utilisée par les herboristes chinois depuis longtemps dans le traitement de nombreuses maladies, telles que des dermatites ou bien encore contre la malaria depuis l'antiquité. En effet, la plante contient de l'artémisinine (qinghaosu (青蒿素)), une lactone sesquiterpénique qui s'est révélée efficace à titre curatif, et non préventif, contre des formes graves de paludisme (en particulier contre Plasmodium falciparum devenu en de nombreux endroits résistants aux médicaments classiques). C'est donc une alternative simple à la portée des populations soumises à ce fléau.<br /><br />L'artémisinine est efficace contre plusieurs souches de parasites responsables du paludisme.<br /><br />De multiples études scientifiques confirment cette propriété[1] et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) encourage des programmes de soins et de culture. Cette même OMS déconseille la monothérapie à base d'artémisinine et recommande les traitements combinés (polythérapie).MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-73461598289427868292012-03-30T18:52:00.002-07:002012-03-30T18:57:31.245-07:00Mus musculus<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-nfGCRi3UxMo/T3ZjytDZbBI/AAAAAAAAESE/7WdQuax6U60/s1600/AN2.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 344px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-nfGCRi3UxMo/T3ZjytDZbBI/AAAAAAAAESE/7WdQuax6U60/s400/AN2.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5725873698986617874" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-hNE-2ftJlGY/T3ZjyRkgQlI/AAAAAAAAER8/gGBs08lQTsE/s1600/AN1.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 194px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-hNE-2ftJlGY/T3ZjyRkgQlI/AAAAAAAAER8/gGBs08lQTsE/s400/AN1.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5725873691609285202" /></a><br />La Souris grise, totozy est une espèce parmi les petits rongeurs (mammifères) de la famille des muridés.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-19355709300201876282012-03-30T01:51:00.002-07:002012-03-30T01:56:51.098-07:00Libellule<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-kqbidEAIlpU/T3V0XxnFq5I/AAAAAAAAERw/KwttaGA3kXI/s1600/libellule.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 376px; height: 400px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-kqbidEAIlpU/T3V0XxnFq5I/AAAAAAAAERw/KwttaGA3kXI/s400/libellule.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5725610453074553746" /></a><br />En langue française, le terme de libellule est en général employé au sens large pour désigner les odonates.<br />Les odonates (Odonata), ou odonatoptères, sont un ordre d'insectes à corps allongé, dotés de deux paires d'ailes membraneuses généralement transparentes, et dont les yeux composés et généralement volumineux leur permettent de chasser efficacement leurs proies. Ils sont aquatiques à l'état larvaire et terrestres à l'état adulte. Ce sont des prédateurs, que l'on peut rencontrer occasionnellement dans tout type de milieu naturel, mais qui se retrouvent plus fréquemment aux abords des zones d'eau douce à saumâtre, stagnante à faiblement courante, dont ils ont besoin pour se reproduire.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-377175545734771802012-03-29T19:02:00.003-07:002012-03-29T19:10:37.934-07:00Bonsai<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-UAVpGaibxGg/T3UV84Xd-TI/AAAAAAAAERM/gSDVEusaVuI/s1600/bonsai.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 236px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-UAVpGaibxGg/T3UV84Xd-TI/AAAAAAAAERM/gSDVEusaVuI/s400/bonsai.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5725506636938606898" /></a><br />« Du Pentsai, Bonsai au Voarizeny »<br /><br /> L’origine du mot « Bonsaï » provient du japonais et signifie littéralement arbre cultivé sur un plateau, "Bon" voulant dire pot ou plateau et "Saï", arbre ou une plante en générale. Malgré sa petite taille, le bonsaï est la réplique d'un arbre en pleine nature. il s’agit de l’ensemble des techniques utilisées pour cultiver un arbre, le former, l’entretenir et lui apporter les soins nécessaires afin qu’il ait l’air à la fois vieux et naturel<br /><br />Ayant tout d’abord fait son apparition en Chine vers 1000 AV JC. Les paysages miniatures, c'est-à-dire les penjing en chinois sont un art traditionnel très populaire en Chine. Composés des vielles plantes et des pierres traitées de façon artistiques, le penjing concentrent divers aspects de la nature dans un récipient. Ainsi, ils sont souvent qualifiés de « poèmes muets » ou « peinture en relief » <br />Le Bonsaï a été importé de Chine à la période Kamakura (1185-1333) par des religieux bouddhistes. Au cours des siècles, différentes écoles se constituèrent, chacune privilégiant un style particulier (arbre droit, penché, en cascade...)., et c’est là que cette forme d’art fut développée et que le Bonsaï est devenu ce qu’il est aujourd’hui.<br />L'image du bonsaï a été véhiculée au travers de l'Asie : de la Thaïlande aux Indes, de l'lndochine au Japon.<br />Le Bonsaï a évolué au cours des siècles, depuis la mise en pot de diverses plantes jusqu’à une forme d’art très respectée qui a trouvé son chemin dans des régions à l’extérieur de l’Asie depuis quelques décennies.<br />La plupart des styles de Bonsaïs, des techniques, des outillages spécialisés et des produits chimiques ont été développé au Japon. Ce n’est que vers 1900 que le Bonsaï commença à être connu en dehors des pays asiatiques.<br />Après une période d'abandon pendant la révolution culturelle, l'art du Bonsaï a aujourd'hui repris sa place en Chine. C'est lors de l'exposition universelle de 1878 que les premiers spécimens arrivent en France. <br />Ce n'est qu'au début des années 1980 que la culture des bonsaïs est introduite à Madagascar. Historiquement, la culture de Bonsaï a été initiée par Mr RAKOTOSAMIMANANA Alain sous le pseudonyme « Main verte » vers les années 1985, il peut être considéré comme le parrain de bonsai à Madagascar. <br /><br />Après viennent, les deux frères RAKOTONINDRINA Christian et ANDRIAMANANA Razakarivony qui ont commencé à pratiquer les bonsaï vers 1989. Vers les années 1992, ils ont commencé à vulgariser les bonsaï à travers leur participation aux différents foires et expositions : à la Chambre de commerce Antaninarenina en 1992 sous le thème « Kolo-maitso I , à l’Hôtel Hilton Madagascar en 1994 avec l’Aloalo Fleur, à l’Hôtel Résidence Ankerana en 2000 sous le thème « Kolo-maitso II », au Floralys Madagascar en 1995, à l’Albert Canut dans le cadre de l’exposition sur le thème « l’homme et l’arbre ». Ils sont réunis dans une association denomée « Fikambanan’ny Mpiangaly Voarizeny ou FMV » qui compte actuellement cinq membres.<br />Ces œuvres ont été primés à travers divers concours comme : Premier Prix sur le concours de plantes exotiques concours organisé par RAZAFINDRATSIRA en 1989 - « Cyprès du<br />Portugal ou cupressus lusitanica agé de 8 ans », 2ème prix lors du Floralys Madagascar « Jabihy ou Operculicarya decaryii » agé de 15 ans.<br />Ils ont traduit le mot Bonsai en « Voarizeny » en Malgache, qui signifie littéralement « Voary ou nature » et « zeny ou nanifiée » ; I<br />Actuellement, plusieurs gens pratiquent le Bonsaï à Madagascar, et on note plus particulièrement « Bruno bonsaï » qui a beaucoup participé dans la vulgarisation du bonsaï à Madagascar. Il est spécialisé dans les bonsaï « Yamadori » ou plantes arrachées dans la nature. <br />Bien que l’Art du Bonsaï ait encore récent à Madagascar, sa pratique attire actuellement de plus en plus de gens. D’alleeurs, Madagascar dispose des espèces endémiques uniques au Monde qui se prêtent bien au Bonsaï comme le Zahana ou Phylartron madagascariensis, le Hetatra ou Podocarpus madagascariensis, le Madagascar ou poinsetia pulcherima…. <br />En résumé, l’art du bonsai aura un bel avenir à Madagascar, et nous espérons que d’autres gens viennent gonfler le rang des amoureux de cet art à Madagascar.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-63991945730617979262012-03-26T04:21:00.002-07:002012-03-26T04:27:08.783-07:00Jamblon<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-VoPHYQifIVk/T3BSX_hQuTI/AAAAAAAAEQE/XF8chvdAei0/s1600/jamblon%2Bfleurs.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 300px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-VoPHYQifIVk/T3BSX_hQuTI/AAAAAAAAEQE/XF8chvdAei0/s400/jamblon%2Bfleurs.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5724165698529311026" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-ZrZUtWllarw/T3BSXXXQUPI/AAAAAAAAEP4/A-QYXNUlTZI/s1600/jamblon%2Bfruit.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 300px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-ZrZUtWllarw/T3BSXXXQUPI/AAAAAAAAEP4/A-QYXNUlTZI/s400/jamblon%2Bfruit.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5724165687749923058" /></a><br />Le jamblon ou jamelonier est un arbre tropical à feuilles persistantes de la famille des Myrtacées. C'est un arbre de taille moyenne originaire du Bangladesh, Inde, Népal, Pakistan et Indonésie.<br />Les arbres commencent à fleurir de mars à avril. Les fleurs de Jamun sont parfumées et petites, d'environ 5 mm de diamètre. Les fruits se développer en mai ou juin et ressemblent à de grandes baies. Le fruit est oblong, ovoïde, vert au départ, il vire au rose, et enfin au noiret au pourpre brillant lors de sa maturation.<br />Les feuilles et l'écorce sont utilisées pour contrôler la tension artérielle et traiter les gingivites. On fait du vin et du vinaigre avec les fruits. Il est riche en vitamine A et vitamine C.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-22357630402461601542012-03-26T01:48:00.003-07:002012-03-26T01:54:25.956-07:00Tabac marron<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://1.bp.blogspot.com/-nAwOjM0xqF8/T3AuIGOSH7I/AAAAAAAAEPs/EB9Q_0xujL4/s1600/solanum%2Bmauritianum%2Bscopoli%2B1788.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 300px;" src="http://1.bp.blogspot.com/-nAwOjM0xqF8/T3AuIGOSH7I/AAAAAAAAEPs/EB9Q_0xujL4/s400/solanum%2Bmauritianum%2Bscopoli%2B1788.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5724125843032252338" /></a><br />Le Solanum mauritianum, Sevabe, Tambakolahy, Tambakobe, Voampoabe. C'est une planet introduite provanant d'Amérique du Sud. Elle est abondante sur les Hauts Plateaux. Plante et fruits toxiques car elle contient un poison, la solanine. Les cendres des feuilles sont employées pour faire du savon et les feuilles fraîches servent à nettoyer les parquets.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-87427496757616943512012-03-26T01:36:00.003-07:002012-03-26T01:41:38.351-07:00Lavande blanche<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-AxFeRq0VFpo/T3Aq0Ok_5SI/AAAAAAAAEPg/eOrgHGvWzGY/s1600/larmesvierge.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 220px; height: 400px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-AxFeRq0VFpo/T3Aq0Ok_5SI/AAAAAAAAEPg/eOrgHGvWzGY/s400/larmesvierge.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5724122203142743330" /></a><br />Alpinia zerumbet est une espèce de plante du genre Alpinia et de la famille des Zingiberaceae. On l'appelle également « fleur de mon âme », « larmes de la vierge », « gingembre coquille », « fleur du paradis » ou encore longose.<br />Aussi appelé l’Atoumo, plante qui guérit "tous les maux". C'est un remède populaire contre la grippe. Très esthétique, c’est surtout pour ses propriétés médicinales qu’on la recherche.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-27813388545355706452012-03-22T06:27:00.003-07:002012-03-22T06:30:50.908-07:00Lichen<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-gzH3rMpLncA/T2spQCWIUCI/AAAAAAAAEMQ/hHs6kJeoAR0/s1600/220px-Haeckel_Lichenes.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 220px; height: 307px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-gzH3rMpLncA/T2spQCWIUCI/AAAAAAAAEMQ/hHs6kJeoAR0/s400/220px-Haeckel_Lichenes.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5722713106988683298" /></a><br />Planche illustrative (de Ernst Haeckel (1834-1919)).<br /><br />Les lichens ou champignons lichénisés sont des organismes composés résultant d'une symbiose entre au moins un champignon hétérotrophe appelé mycobionte, représentant 90 % de l'ensemble, et des cellules microscopiques possédant de la chlorophylle (algue verte ou cyanobactérie autotrophe pour le carbone) nommées « photobiontes ». Cette symbiose résulte d'une association (appelée lichénification ou lichénisation) entre le champignon et le photobionte. Ils sont classés dans le phylum des Fungi.<br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://3.bp.blogspot.com/-Her5mAzedl0/T2spImcT29I/AAAAAAAAEME/bg4DvDBINz4/s1600/220px-Lichen_ag1.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 220px; height: 330px;" src="http://3.bp.blogspot.com/-Her5mAzedl0/T2spImcT29I/AAAAAAAAEME/bg4DvDBINz4/s400/220px-Lichen_ag1.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5722712979239328722" /></a><br />Cette association est durable, reproductible (elle donne naissance à de nouveaux individus, à la formation d'une nouvelle unité fonctionnelle) avec des bénéfices réciproques pour les partenaires, et entraîne des modifications morphologiques et physiologiques (ces dernières liées à des interactions génétiques entre les deux partenaires).MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-87396299490529766222012-03-21T07:43:00.004-07:002012-03-26T00:22:20.629-07:00PunaiseEn malgache anoano.<br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://3.bp.blogspot.com/-e2TmP7qdcIU/T2nq-uPpVdI/AAAAAAAAELg/bvjybMaVfuE/s1600/I2.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 326px;" src="http://3.bp.blogspot.com/-e2TmP7qdcIU/T2nq-uPpVdI/AAAAAAAAELg/bvjybMaVfuE/s400/I2.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5722363164837369298" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://2.bp.blogspot.com/-Xfv8RFL3Pdw/T2np3EcC0tI/AAAAAAAAELI/uPbPUGHL7sk/s1600/I1.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 337px;" src="http://2.bp.blogspot.com/-Xfv8RFL3Pdw/T2np3EcC0tI/AAAAAAAAELI/uPbPUGHL7sk/s400/I1.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5722361933844370130" /></a>MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-24309763743198808062012-03-21T07:14:00.003-07:002012-03-21T07:21:03.180-07:00Cétoine - Reproduction<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://4.bp.blogspot.com/-z_3fHi80bXg/T2nji2RJjMI/AAAAAAAAEKk/pF1_Y3wpkcc/s1600/Amour.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 357px;" src="http://4.bp.blogspot.com/-z_3fHi80bXg/T2nji2RJjMI/AAAAAAAAEKk/pF1_Y3wpkcc/s400/Amour.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5722354989373426882" /></a><br />Les Cétoines sont des Coléoptères qui appartiennent à la très grande famille des Scarabéidés.<br /><br /><span style="font-weight:bold;">Dimorphisme sexuel !</span><br /> <br />Les sexes sont globalement identiques, mais le mâle se reconnaît néanmoins aisément par la présence d' un "sillon" longitudinal situé au milieu de la face ventrale de l'abdomen. En fait il s'agit d'une simple dépression, souvent peu marquée, mais toujours bien visible en faisant "jouer" la lumière. Bien entendu , l'abdomen de la femelle est quant'à lui parfaitement lisse et convexe.<br /><br />L'édéage ( = aedeagus) est aux mâles ce que les genitalia sont aux femelles. Vous l'aurez compris, il s'agit des organes reproducteurs des insectes, pouvant en quelque sorte se qualifier de "génitaux". <br /><br />Ces organes permettent de différencier des espèces très proches, là où les critères purement morphologiques sont insuffisants ou incertains. Bien entendu il faut les disséquer, et les préparer durablement en mettant en évidence .... ce qui doit l'être ! <span style="font-weight:bold;">Débutants s'abstenir !</span><br /> <br />L'édéage des insectes mâles, disons le pénis pour faire simple, est souvent très développé, au point de parfois atteindre la longueur du corps.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-55356469267110501332012-03-16T07:42:00.002-07:002012-03-16T07:45:31.359-07:00La survie des Sifaka soyeux sérieusement menacée<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://1.bp.blogspot.com/-2lfNK__u8Jg/T2NRydqiFyI/AAAAAAAAEII/JvHmIlBmZz8/s1600/lemurien.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 249px; height: 282px;" src="http://1.bp.blogspot.com/-2lfNK__u8Jg/T2NRydqiFyI/AAAAAAAAEII/JvHmIlBmZz8/s400/lemurien.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5720505879088994082" /></a><br /><span style="font-weight:bold;">Un chercheur américain tente actuellement de protéger une des espèces de mammifères les plus rares du monde, les lémuriens blancs, aussi connus sous le nom de Sifaka soyeux.</span><br /><br />Baptisés les "fantômes de la forêts", car ils semblent traverser les arbres tels des ombres blanches, les Sifaka soyeux ont élu domicile dans les montagnes du Nord-Est de l'île de Madagascar. Avec moins de 1.000 spécimens encore en vie, le lémurien blanc est considéré comme l'un des mammifères les plus rares par les scientifiques. Erik Patel, scientifique de l'Université de Cornell explique "qu'ils ne sont peut-être même plus que 100", rapporte le Smithonian Mag. Ainsi, cela fait des années que ce chercheur passionné étudie ces petites bêtes dans le Marojejy National Park de Madagascar. <br /><br />La menace principale qui pèse actuellement sur les Sifaka soyeux reste l'activité humaine. Chassés par certains pour servir de nourriture, les lémuriens doivent également faire face à une destruction de leur habitat. Une grande partie des forêts où ils habitent sont illégalement coupées par des bûcherons voire brûlées et transformées en champs de riz. Face à cela, Erik Patel essaye d'obtenir le soutien de plusieurs communautés afin de pouvoir dissuader les bûcherons d'abattre les arbres. Il a ainsi sensibilisé les enfants des villages environnants en les emmenant observer les lémuriens et a engagé de nombreux villageois pour chasser les coupeurs de bois. Selon lui, à moins que la destruction de leur habitat ne cesse rapidement, le lémurien blanc pourrait bien devenir un réel fantôme. "Nous n'avons plus beaucoup de temps", désespère-t-il.<br /><br />Le Sifaka soyeux pèse entre 5 et 6 kilogrammes et mesure environ 95 à 105 centimètres de long, dont 45 à 50 centimètres de queue. Selon la population locale, les mammifères "volent comme des anges" car leurs sauts d'arbres en arbres peuvent atteindre jusqu'à dix mètres. Une souplesse et une rapidité confirmées par Kevin Schafer, photographe de la faune et la flore : "vous pouvez être en train de les suivre, et tout d'un coup, vous regardez en l'air et ils sont un quart de mile plus loin". Le lémurien blanc tire son nom de son épaisse fourrure. Le mot "sifaka" issu lui du malgache est partagé par plusieurs espèces de lémuriens et semble se référer au cri, "shee-faak", qu'ils poussent lorsqu'ils sont effrayés.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-38176038128601393792012-03-09T07:38:00.003-08:002012-03-09T07:44:21.616-08:00Striga hermonthica<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://3.bp.blogspot.com/-9YaNe_hbxgM/T1olCF56ZfI/AAAAAAAAEFg/Vuk3gmAsz_M/s1600/250px-Striga_hermonthica.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 250px; height: 333px;" src="http://3.bp.blogspot.com/-9YaNe_hbxgM/T1olCF56ZfI/AAAAAAAAEFg/Vuk3gmAsz_M/s400/250px-Striga_hermonthica.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5717923394775311858" /></a><br />Striga hermonthica est une plante parasite herbacée annuelle appartenant au genre Striga de la famille des Scrophulariaceae, originaire des régions tropicales de l'Ancien monde.<br /><br />Comme d'autres espèces voisines, telles que Striga asiatica et Striga gesnerioides, c'est un parasite dévastant des cultures importantes, en particulier le sorgho et le riz. En Afrique subsaharienne, outre le sorgho et le riz, elle infeste le maïs, le millet perle et la canne à sucre. À la fin des années 1990, on estimait à vingt-et-un millions d'hectares les surfaces de céréales infestées en Afrique par Striga hermonthica, ce qui conduisait à une perte de production estimée à 4,1 millions de tonnes.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-8662227277969627904.post-47155730370988247672012-03-08T07:29:00.002-08:002012-03-08T07:39:01.879-08:00Grosphus madagascariensis<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://1.bp.blogspot.com/-XDDSLQFIv1U/T1jSYaTNkWI/AAAAAAAAEFU/BYgli3dT-RI/s1600/images.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 248px; height: 204px;" src="http://1.bp.blogspot.com/-XDDSLQFIv1U/T1jSYaTNkWI/AAAAAAAAEFU/BYgli3dT-RI/s400/images.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5717551043765440866" /></a><br />Grosphus est un genre de scorpions de la famille des Buthidae.<br />Les espèces de ce genre se rencontrent à Madagascar et aux Comores.<br />Les scorpions ont un cycle de vie très différent des autres insectes. Ils ne viennent pas au monde sous forme d'œufs mais sous forme de larves.<br />Le scorpion se nourrit d'insectes, d'araignées, d'autres scorpions. Il ne mange pas souvent car un simple vers lui fournit des réserves d'énergie.MILARhttp://www.blogger.com/profile/11157791473545432849noreply@blogger.com0